Bon article. Seule critique, sur la forme, la répétition de l’emploi du « déni de réalité », employé quatre ou cinq fois. Le problème, je pense est double. Premièrement, ce n’est plus les politiques qui dirigent le monde, mais les financiers, on peut le constater avec la crise de l’euro qui voit les Etats être mis sous tutelle du FMI, ce qui est totalement anti-démocratique !! (et personne ne s’en offusque).
Deuxièmement, le développement des médias et la rapidité de l’information ont fait en sorte que la communication politique a pris le dessus sur la réflexion politique. Le citoyen n’est plus alerté dans sa réflexion, mais dans son émotion, et il réagit en fonction des problématiques émotionnelles qu’on lui soumet au moment T de l’élection. Il n’y a plus de mémoire politique. Le symptôme en est les réformes mises en place pendant le quinquennat : au tout début, on les multiplie, et à la fin du mandat, avec en point de mire l’éventuelle réélection, on ne fait plus rien, sauf caresser l’électeur dans le sens du poil.
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