Bonjour l’auteur, vous écrivez, je cite : « Qu’on nous gonfle avec des histoires de banques, de banquises, de faillites, de volcans et autres calembredaines, on le sait bien qu’on vit dans les cendres de la décadence, sans traiter ce problème fondamental marquant le renouveau d’une civilisation : « Peut-on désormais, dans les temples du grand chelem, jouer les fesses à l’air ! » »
J’ignore si c’est du second degré, et j’aurais volontiers poursuivi ma lecture pour le savoir mais cette expression : « les fesses à l’air » concernant un geste que je trouve, moi, assez généreusement audacieux, m’en a dissuadé.
Pour rester dans la vulgarité, je me demande si votre article c’est du lard ou du cochon. Désolé.
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