Admettons. La globalisation des échanges est un génocide contre l’humanité.
Donc il ne faut pas globaliser. Échanger avec soi-même parait alors la solution évidente, parce que si on est deux à échanger, rien ne garantit que l’un des échangeurs n’échange avec un tiers, lequel fera de même, et pof, génocide, raté le plan génial.
Là je vois un rigolo au fond de la salle qui dit qu’échanger avec soi-même n’est pas un échange.
Ah, ce n’est pas bête. En effet, être contre la « globalisation » de l’échange, c’est être contre l’échange.
Donc l’échange est un génocide contre l’humanité.
Mais comment considérer une humanité sans échange ?
En étant anti-humaniste et en lisant des tracts à la con au lieu de bosser.
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