Armelle,
J’avais quelques préjugés sur le cinéma américain, habitué que j’étais au cinéma français de mon enfance qui représentait souvent le théâtre filmé, l’importance du texte, l’intimisme de la communication.
C’est vrai qu’avec la couleur et le grand écran des années 50 ce fut la révolution spectaculaire.
La virtualité gigantesque qu’il véhicule contribue à nous couper du réel.
Mais au fond qu’est-ce que la réalité ?
Ne sommes nous pas devenus les acteurs d’une vie onirique qui nous échappe sur les écrans du nouveau monde ?
Essayons de cultiver la flexibilité pour ne pas sombrer dans la folie.
Merci pour ce moment de réflexion.
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