Espace public sous video-surveillance : lourds investissements qui ne supportent plus de risquer d’être rendus inutiles par les diverses possibilités de se masquer. Burqua en premier pas, qui permet de glisser un texte scélérat sous l’aile des peurs racistes, puis, cagoules des manifestants (c’est déjà fait), casques des motards (qui, déjà, paient leur carburant avant de se servir), masques de carnaval, verres fumés masquant les occupants des voitures, et peut-être, lunettes noires et perruques aujourd’hui si commodes pour, par exemple, d’anciens mannequins un peu chanteuses et épouses d’homme célèbre. Tous surveillés, tous coupables a priori, dans un climat bien dégradé par la presse quotidienne (Paris-Normandie dans ma province) qui relate régulièrement que des malfaiteurs ont été confondus grâce à des vidéos, omettant curieusement que l’image n’est pas preuve. Nouvel abus de législation, resserrant le réseau obligation / interdiction trop près de l’individu pour être supportable, libéraux liberticides.
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