Bonjour Bernard Dugué
Vous dites : « pourquoi ça mute et si ça mute ça marche si bien ? » Mais la science ne se préoccupe-t-elle pas en premier lieu du « comment » et non du « pourquoi » ?(à moins qu le pourquoi de votre questionnement ne signifie « comment »)...D’autre part, bon nombre de mutations ne « marchent » ni bien ni mal et ne procurent dans l’immédiat aucun avantage ni aucun handicap, quand elles ne sont pas purement et simplement léthales. Ca ne marche donc pas si bien que ça. Notre attention n’est-elle pas focalisée justement sur les exemples qui nous « arrangent » ?
Il me semble avoir lu dans une revue sérieuse que l’exemple de la Phalène du bouleau, tellement évoqué, aurait fait l’objet d’une sérieuse critique quant à la méthodologie employée...
Quant au « mal des montagnes », n’est-il pas justement dû dans un premier temps à une mauvaise oxygénation des organes (cerveau en particuier) du fait que la mobilisation et la production d’hématies n’a pas encore atteint un niveau suffisant, et non à cette augmentation, qui au contraire, avec une certaine latence, compense la baisse de pression partielle du dioxygène ?
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