Le pire n’est pas à venir : on y est , on y était avant même la survenance de cette catastrophe.
On y est : le pire, c’est le manque de mémoire des gens. Les classes politiques resteront toujours à la solde des puissances d’argent. Et les gens continueront à voter pour cette engeance : voilà le pire du pire.
Avec la catastrophe de Tchernobyl, les soviétiques avaient au moins l’excuse de l’existence d’un pouvoir dictatorial.
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