Voilà ce que relevait Rue89 fin juin :
« Pour les contrôles de la DNVSF, s’il n’y a pas d’aval politique, le cas ne sera jamais vérifié. Et il n’y a pas de trace, un peu comme un procureur de la République qui classe sans suite, en fonction de “ l’opportunité ” des poursuites.
Il n’y a pas de procédure, mais un coup de téléphone suffit. Parfois aussi, on envoie un mail et on n’a jamais de réponse. Il suffit de laisser traîner quelques mois et c’est prescrit. »
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération