L’affaire de la vente de l’hippodrome de Compiègne est encore bien plus grave que l’affaire Bettencourt.
Procéder à la vente de ce bien de l’ONF sans la loi le permettant, sans appel d’offre, au dixième de sa valeur, sans doute à de bons amis, c’est la taule assurée pour ceux qui ont participé à l’opération. L’honnête Monsieur Woerth va avoir du mal à justifier ce tour de passe-passe !
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