Je vous laisse entre admirateurs béats de dictateurs pour peu qu’ils se nomment Fidel (ah, quand on se contente de n’utiliser que son prénom, chère madame Bleitrach, c’est là qu’on manifeste son idolâtrie, Fidel, comme « Johnny » en quelque sote). Je suppose que vous avez frémi d’émotion quand Chavez a déterré le squelette de Bolivar pour s’en servir dans sa croisade contre la Colombie.
Vous utilisez bien imprudemment le mot « fasciste » pour une soi-disante sociologue, madame Bleitrach (qui informez ad minima sur votre fiche). Connaissez-vous au moins la définition opératoire ? L’appliquer à Israël c’est véritablement se foutre du monde, surtout quand on peut identifier un véritable fascisme chez nombre de ses adversaires.
Non, je ne vais pas ressortir la shoah, mais tout simplement répéter la comparaison qui s’impose - vous êtes comme ceux qui avaient les yeux de Chimène pour les fascismes historiques, rouges et noirs, en d’autres temps, par haine de ce même impérialisme qui concentre vos obsessions et vos phantasmes, les USA.
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