Je trouve cet article assez simpliste. Il nous somme de choisir entre le laxisme éhonté et la violence physique, entre la démission à l’égard de l’enfant roi et la bonne vieille punition corporelle (jointe à un bonne dose d’humiliation : génial !). Entre Charybde et Scylla, il y a peut-être une voix moyenne : la fermeté, le calme, la volonté de comprendre sans pour autant tout excuser.
J’ajouterai qu’il y a quelque chose d’étrange à justifier l’autoritarisme au nom de l’anarchisme et de la rébellion à l’égard de l’ordre établi. Ce n’est peut-être pas une contradiction, mais cela y ressemble fort.
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