Qu’on ne s’y trompe pas, le faux féminisme de pigripi ne propose qu’une seule chose afin d’éviter les infanticides dus aux dénis de grossesse : que le mari impose à sa femme une surveillance intime de plusieurs mois après chaque rapport sexuel : vérification des règles, mesure du tour de ventre et de poitrine, interrogation systématique de la moindre saute d’humeur, etc. En réalité, affirmer comme cette fausse féministe de prigripi que le mari est tout aussi responsable que la femme dans les cas de déni de grossesse, c’est en fait militer pour que la femme soit assujettie à un contrôle constant et étroit de la part de son mari, si celui-ci ne veut pas porter lui aussi le chapeau dans l’éventualité bien incertaine d’un déni. Comment se fait-il que les combats menés par les féministes conduise si souvent à une aliénation accrue de la femme ?
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