D’ores et dèjà drapeaux et hymnes n’ont plus aucun intérêt et les grands championnats ne sont plus que du showbiz sportif.
Bien vu FERGUS, mais les foules exaltées et moutonnières étant plus malléables que les individus cogitants, il est très difficile de faire passer ce message, c’est d’ailleurs le but poursuivis par les Etats,
car les Etats, profitant de la grande popularité du sport en général, s’en sont saisi compendieusement afin de faire valoir leur politique, et ce pour tous les régimes en place : communisme, nationalisme, capitalisme, libéralisme, etc..., peu importe, l’essentiel est de donner des jeux aux peuples pour mieux emberlificoter les esprits.
Au-delà des rendez-vous réglementés comme les jeux olympiques ou le mondial du foot, les professionnels du sport nous imposent désormais partout dans le monde un tintamarre de fond continuel et tonitruant.
Plus de temps perdu, plus d’espace clair sur la planète : grâce aux marqueurs, loin d’être anodins, comme la couleur du maillot, l’emblême, ou le nom de l’équipe les spéculateurs du sport avec la complicité des hommes d’Etats ont apprivoisés leurs peuples et ont véritablement soumis le monde pour longtemps