Et la misère des centres dorthogénie en France.
Des médecins débordés et déconsidérés, souvent des étrangers qui n’ont pas le choix et le font à reculons, donc avec hostilité et culpabilisant les femmes qu’ils avortent et qu’ils traitent comme des salopes.
Des lieux sordides aux murs crasseux faute de moyens.
Des délais d’attente trop long qui obligent certaines à aller avorter à leurs frais en Espagne ou faute de moyens à recourir aux méthodes ancestrales ou subir la grossesse éventuellement commettre un infanticide, abandonner l’enfant à la naissance ou lui assurer l’avenir radieux d’un enfant non désiré.
Et tout ça seules, abandonnées par le géniteur qui va continuer à gambader pour vivre pleinement sa sexualité magnifique.
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