Dans « Lumieres du bouddhisme ». P. Rabanne rappelle un fait historique : « Bien Longtemps après que Câkyamunieut reçu l’éveil Mahâprajâpatî demanda à etre admise dans la communauté qu’il avait créée autour de lui, elle fut rejeter en raison de tradition bahmanique interdisant aux femmes le renoncement. Chaque jour, Mahâprajâpatî revint à la charge. Chaque jour, bouddha avec une incroyable froideur, refusa de lui ouvrir sa porte : peut être n’éspérai t’elle plus qu’une parole. Rien ne vint enfin quelques années plus tard ânanda, qui était son principal disciple parla à bouddha et intercedat à la faveur de sa tante. Les femmes furent alors acceptées dans la communauté mais dans le cadre d’une règle plus dure, et sous la dépendances des moines. De plus bouddha affirma sa crainte : cette entrée des femmes dans le sangha risquait d’abréger la durée du bouddhisme. »
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