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En réponse à :


morice morice 12 novembre 2010 11:20

N’empêche que VOUS n’aviez pas CAPTE que ce sont les RUSSES qui veulent la libération de Victor Bout !


ah ah ah : si vous saviez avec quels russes il bossait..

mais ça vous attendrez pour le savoir.On en est loin d« en avoir fini avec cette enquête : la carrière de Vikor Bout a duré plus de 35 ans... si vous en êtes encore à penser qu’il est .. russe, c’est grave.

vous lisez trop l ’Express...

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/viktor-bout-seigneur-de-guerres_756307.html

 »A part ça, Viktor Bout est un amoureux fou de Tolstoï et de Gogol, doublé d’un humaniste qui se préoccupe du sort des populations pygmées et de la banquise arctique. Il parle sept langues, dont le xhosa et le zoulou, et possède autant de passeports que de noms d’emprunt, c’est-à-dire beaucoup.« 

euh, et vous trouvez ça »journalistique«  ???

c’est signé 
Henri Haget, Alla Chevelkina, Philippe Coste, 

le premier :
Henri Haget

http://www.lexpress.fr/informations/ne-tirez-pas-sur-virenque-la-reponse-de-henri-haget_634736.html

 »En dépit de cette « Virenquemania », le coureur de l’équipe Polti est redevenu, au fil du Tour, ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : un bon grimpeur, trop limité dans les contre- la-montre pour viser le podium et, plus encore, le maillot jaune. Le vrai Virenque."

la seconde
http://www.lefigaro.fr/international/2008/08/18/01003-20080818ARTFIG00191-la-diplomatie-francaise-monte-au-front-.php
Dimanche, la réaction que toute la Géorgie attend, finit par venir de Paris. Le président Sarkozy met en garde Dmitri Medvedev « contre les conséquences graves qu’une non-exécution rapide et complète de l’accord aurait sur les relations de la Russie avec l’Union européenne ». Ce ton ferme suscite une réaction immédiate du Kremlin, qui annonce pour lundi le début du retrait. Medvedev a-t-il tiré parti du coup de gueule français pour faire taire les partisans de l’escalade ? « Il faut trouver un nouveau langage pour parler avec Moscou », a dit dimanche Bernard Kouchner. La journaliste russe Alla Chevelkina est persuadée que ce langage doit être « celui de la fermeté ».

le troisième :
c’est le photographe !
http://www.philippecoste.com/




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