La confiance que voue le président à M. Squarcini - autrefois catalogué proche de Charles Pasqua - est née en 2002, à l’arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère de l’intérieur. "Bernard Squarcini a attiré l’attention du ministre au cours de ses voyages en Corse, par sa formidable connaissance de la région et la finesse de ses analyses, explique Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, à l’époque directeur du cabinet. C’est lui, ensuite, qui a permis avec le RAID de trouver le petit fil jusqu’à Yvan Colonna."
Une chose est imparable dans cette manière décomplexée dont Nicolas Sarkozy place ses hommes et ses femmes de confiance au sommet de la police : leurs qualités professionnelles, reconnues même par leurs pourfendeurs. Cela n’évite pas les soupçons de népotisme, mais en calme l’ardeur. Frédéric Péchenard, directeur général de la police ; Martine Monteil, patronne de la police judiciaire (PJ) ; et maintenant lui, l’ancien numéro 2 des renseignements généraux (RG), chargé de mener à bien le chantier historique de la fusion entre la DST et les RG.
Prenez les noms au passage..... Noms utiles et pas facile à déplacer comme ça pour un futur gouvernement d’opposition. Ce sont des fonctionnaires avec leur statut.
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