que racontent les experts quand il ne font pas un rapport officiel ?
sur la compatibilité electromagnétique et la propagation des ondes en fonction de la fréquences :
Ce qu’en pensent en introduction à leur cours Mr Bolomey et Mr Azoulay respectivement expert des groupe des 2003 et 2005 consultés par l’afsset.
« Le brouillage et les interférences sont une conséquence grave et envahissante de la pollution électromagnétique de l’environnement. Le cours présente les mécanismes de couplage par rayonnement et les solutions permettant de s’en prémunir. Une attention particulière est aussi portée aux moyens modernes dont peut disposer l’ingénieur pour évaluer les risques occasionnés par ces phénomènes et dimensionner les protections requises. »
Ce qu’en pense Michel Terré expert du groupe de 2005 consulté par l’afsset
« Un déploiement important de tous ces systèmes dans les années à venir pourrait donc conduire à une pollution très conséquente du spectre radio-électrique conduisant à une élévation du niveau de bruit ambiant électromagnétique qui pourrait conduire au blocage de plusieurs systèmes. »
ce qu’ecrit le CNFRS dont sont membres plusieurs experts de la fondation santé et radiofréquences :
dans son rapport d’activité 2000 2003
« Nous retiendrons surtout les travaux sur le comportement aléatoire des champs électromagnétiques. En effet, de plus en plus la pollution électromagnétique se manifeste par l’apparition de champs provenant de sources émettant à de courtes longueurs d’ondes, ce qui veut dire que les dimensions des systèmes concernés par ces phénomènes (équipements ou locaux) seront dimensionnées vis à vis de ces ondes. Les conditions sont donc propices à la génération d’ondes stationnaires dont la distribution d’amplitude sera influencée par de très nombreux paramètres physiques. »
dans son rapport d’activité 2003 2006 on peut lire :
page 23 "Fondation Santé et Radiofréquences La Commission K, « électromagnétisme en médecine et en biologie » a été un des moteurs de la création de la Fondation de recherche « Santé et radiofréquences », reconnue d’utilité publique. Le CNFRS à travers cette commission a joué pleinement son rôle d’expertise. Depuis sa création, notre CNF participe d’une manière active à la Fondation Santé et Radiofréquences gràce à son réseau d’experts reconnus. Notamment, on note : Président du Conseil d’Administration : Pierre-Noël Favennec Membres du Conseil Scientifique : Frédérique de Fornel et Joël Hamelin"
page 51:Commission E : Bruits et brouillages électromagnétique
L’environnement électromagnétique est, depuis ces dernières années, en constante évolution. En effet, l’essor des technologies de l’électronique rapide et l’explosion des systèmes de communication sans fil a conduit à l’augmentation des problèmes d’interférences dans les véhicules automobiles, les aéronefs, plus généralement en milieu résidentiel et industriel, dans les hôpitaux, ... Il s’agit, par les recherches relatives à l’identification des sources, à l’étude des phénomènes de couplage et de l’analyse des règles de conception et des moyens de protection, de contrôler l’influence de l’environnement électromagnétique sur les systèmes électroniques.
observation : les 3 membres cités ont oublié de tenir compte des travaux de la commission E ci dessus mais « ils ont pleinement joué leur rôle d’expertise », selon le CNFRS.
concernant la pertinence d’un point de vue biologique des limites thermiques actuelle il y a aussi tromperie !
On peut lire le rapport d’activité du PIOM 2005 de l’équipe de Bernard Veyret qui n’est pas un inconnu de l’afsset. page 35 « L’apparition prévue de nouveaux dispositifs grand public fonctionnant à des fréquences encore supérieures (jusqu’à 6 voire 10 GHz) risque de remettre en cause la dosimétrie telle qu’elle a été envisagée jusqu’à présent, aussi bien d’un point de vue conceptuel (pertinence de la notion de SAR à ces fréquences) que scientifique (validité des fantômes pour rendre compte de l’hétérogénéité des milieux vis à vis de ces longueurs d’ondes). »
page 45
« La peau est le premier organe exposé aux micro-ondes émises par les téléphones mobiles. En effet, tout comme pour le cerveau, un quart des radiofréquences émises par le téléphone est absorbé dans la peau. Cependant, elle n’a, contrairement au cerveau, fait l’objet que de peu d’attention. Or, avec le développement des technologies de communication sans fil, la fréquence porteuse des signaux augmente ; la conséquence en est une absorption de plus en plus grande des radiofréquences au niveau de la peau. »
page 47 :
« D’autre part, les communications sans fil évoluent vers l’utilisation de micro-ondes de fréquence de plus en plus haute (2450 MHz et plus). En termes biologiques, cela signifie que ces micro-ondes seront absorbées majoritairement par la peau et de façon moindre par le cerveau (dans le cas d’un terminal placé contre la tête). Avec ces nouveaux signaux, la peau devient donc la principale cible des radiofréquences. »
La contradiction avec ce que l’on nous raconte est flagrante l’afsset est démentie par les experts officiels !
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