non, les conséquences ne seraient pas cataclysmique, seule au maximum 10 a 15% des antennes relais posent problème en matière d’exposition en dépassant 0,6V/m qui est le seuil acceptable pour beaucoup d’organisations.
Le problème est que les instances chargées de l’évaluation des risques sont terrorisées a l’idée de mettre la moindre contrainte aux opérateurs et se comportent comme le comité permanent amiante ou comme le SCPRI de sinistre mémoire avec le nuage de tchernobyl.
Respecter le seuil de 0,6V/m n’induira qu’un léger surcout ce qui est conforme au principe de proportionalité entre le risque et les moyens de le prévenir prévu dans la constitution.
L’afsset principal responsable de cette situation organise systématiquement la désinformation en cachant le risque lié a la compatibilité electromagnétique en violation de l’article l32 12° du code des postes et communications electronique, des lois sur la CEM et de la constitution.
Ce risque etant inscrit dans la loi et les reglements pour le prevenir existent, le délit de mise en danger de manière délibérée la vie d’autrui semble caractérisée automatiquement.
La déontologie et la démarche scientifique ne pesent pas lourd face a la puissance d’un lobby qui n’en demande pas tant.
En cas de décès ou de grave atteinte a la santé lié a ce risque, les menteurs qui pretendent que le seul risque est thermique risquent de se voir condamner pour homicide involontaire : jusqu’a 5 ans de cabane.
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