J’ai eu l’honneur de recevoir des main de ce grand homme, un premier prix de dessin au lycée van vollenhoven de Dakar en 1960, alors qu’ilétait Président de la République du Sénégal. Toutefois je tiens à dire que lors de son décès, la France ne lui a pas rendu l’hommage qui lui était dû en proportion de ses mérites entre autres, membre de l’Académie française. Ce sont des hommes comme lui et Aimé Césaire qui nous ont amené, malgré tout le mal que nous avons fait aux Africains, à leur manifester aujourd’hui, le respect qu’ils méritent. Jacques Bailly.
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