Il y a un truc qui m’échappe dans cette histoire de chat. J’ai du mal à comprendre que la superposition d’état puisse se transmettre dans un dispositif de mécanique classique tel qu’un zigouilleur de chat.
En effet, ce dispositif est au départ dans l’état « non déclenché ». Cet état initial n’implique-t’il pas que le déclenchement qui lui est en logique oui/non ne puisse se faire que quand la particule a choisi son état définitif (suite à la détection de sa particule sœur) ?
2ème question, pourquoi n’essaye-t’on pas, pas avec un chat mais une mouche par exemple ? Si on peut détecter l’état de cette particule il est facile de provoquer la mort d’une mouche. Et je pense qu’elle sera tuée uniquement quand la particule soeur sera détectée et du mauvais type (pour la mouche). Mais comme çà n’a pas été fait j’ai dû rater un truc...
Ma conclusion provisoire est que la mécanique quantique est une belle théorie, qui marche et tout, mais incomplète (enfin, toutes les théories sont perfectibles et incomplètes, c’est même prouvé par Gödel).
En tout cas j’apprécie énormément l’effet de corrélation quantique, qui permet de rompre avec l’approche déterministe/réductioniste, en montrant ce que qui ressemble des « fusions » temporaires entre des points de l’espace-temps. C’est fascinant...