Sur le déni de grossesse, voir la thèse du Dr GRANGAUD, pédopsychiatre « Déni de grossesse, essai de compréhension psychopathologique » qui semble faire autorité actuellement.
Il y aurait deux sortes de dénis : total ou partiel, le premier pouvant aller jusqu’à l’infanticide : c’est lui qui, effectivement, fait la une des médias.
Dans le cas évoqué, ça a plutôt l’air très partiel, la mère ayant établi le contact et se recalant dans la réalité qu’elle a devant elle (contrairement à une autre pathologie redoutable : la psychose puerpérale)
Ces faits indiqueraient-ils qu’en plus de la possibilité physique d’être enceinte, il faudrait être aussi, pour certaines, « prête dans sa tête » ? (désirer)
Après tout, c’est peut-être ce qui nous différencie des autres primates...
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