La faute de Ruquier, dans cet accrochage, c’est de ne pas prendre conscience de ce que, derrière l’apparence du second degré, les deux cinéastes dévalorisent complètement le métier de critique, et c’est du premier degré. Mais l’incident n’aurait sans doute pas éclaté si les deux critiques n’étaient poursuivis depuis longtemps déjà par une réputation de monstres impitoyables. C’est sans doute pour ça que Naulleau réagit mal : il défend son rôle si contesté, pas seulement par les deux invités, mais par le grand public.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération