Puisque la productivité des prolétaires (donc des entreprises) à crû depuis 1945, il faut moins d’heures (donc moins d’emploi) pour produire la même richesse.
Cela signifie que l’assiette des cotisations doit être actualisé en incluant ce qui n’existait pas en 1945.
Si on continue à raisonner comme le primate de l’élysée, quand les robots remplaceront les humains il n’y aura plus de sous pour la retraite (puisque les cotisations concernent le travail et pas l’outil de travail, enrichi par le travail des générations précédentes).
Puisque l’argent est productif il faut aussi donc taxer le capital et le revenu du capital.
Ce qui a été perdu en heures de travail par les prolétaires doit être récupéré là où il est passé.
Le raisonnement des socialistes (Martine Aubry) est conforme au raisonnement de l’ump, c’est décevant.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération