Paul Villach pose de bonnes questions, il n’affirme rien que le compte rendu posé par la Justice elle-même.
Pourquoi le traiter de fasciste ?
Que le petit Mohamed Al dura soit vivant ou mort à l’heure actuelle importe peu (sauf pour lui et sa famille naturellement).
Qu’il y ait un front médiatique pour protéger Charles enderlin, cela est indubitable.
Comme il y a eu un front, ces derniers jours, pour protéger Pujadas des attaques de Mélanchon.
Que Claude Sérillon, qui présentait le 20 h à l’époque du drame, fasse l’éloge appuyé d’u livre d’Enderlin dans l’émission de Drucker, rien de bien étonnant. Mais rien de moins dégueulasse. Il aurait du s’abstenir, par simple honnêteté.
Cela ne vient pas à l’esprit de nos critiqueurs professionnels que Villach puisse avoir raison.
A bien y regarder, le personnel politique subit la sanction des urnes. Le personnel salarié subit la sanction du licenciement s’il fait preuve d’incomptétence.
Qui contrôle, qui valide les errements des correspondants de presse ? Sont-ils les seuls à bénéficier de l’infaillibilité ?
Sont-ils les seuls à être parfaitement honnêtes et vierges de tout présupposés ?
Dans ce cas, il faut souhaiter la bienvenue à la dictature de la pensée unique. Mais il serait inconvenant de s’en plaindre ensuite.
Enderlin est un magouilleur de première, doublé d’un lâche car, absent au moment du drame, il n’a pas voulu remettre en cause l’impartialité de son cameraman, Tala Abou Rahmé.
Hors, rien ne dit que celui-ci soit parfaitement honnête, rien !
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