"Le travail des femmes va bien évidemment dans le sens de l’histoire. La révolution de la paternité n’est pas encore achevée, elle ne fait que commencer. Il y a donc une phrase transitoire où tout doit être fait pour permettre aux femmes de concilier travail et maternité."
Je ne suis pas d’accord avec cette position.
Beaucoup de femmes ne souhaitent pas travailler. Beaucoup travaillent parce qu’elle y sont obligées. Quand aux nourices ca me semble un peu curieux. Toutes les femmes ne peuvent pas aller travailler et faire élever leurs enfants par une nourice ! C’est une vision bourgeoise de la société. Comment font les femmes qui n’ont pas les moyens de payer une nourice. Et, les nourices dans tout ça ? Elles aussi elles peuvent avoir des enfants ou vouloir faire un travail plus gratifiant que d’élever les enfants des autres.
Plus on dévalorisera le rôle de mère et la maternité moins les femmes auront d’enfants. C’est aussi simple que ça. C’est bien ce qu’il se passe avec le mouvement dit féministe qui n’a de cesse de faire passer la maternité pour une spoliation.
Cette évolution mène dans le mur niveau démographique. Au Québec ou le processus est très avancé, la maternité a chuté à 1,4 enfants par femmes et cette société s’autodétruit. Les femmes ne veulent plus d’enfants, ne veulent plus les élever, ne veulent plus vivre en couple durablement.
Une société qui dévalorise la maternité coure à sa perte. C’est tellement évident que des fois on perd la réalité de vue.
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