Quand on voit la dégaine du goncourt. tergal bleu et chemise surpiquée bleue en « jeans », cheveux réduits à leur plus grasse expression, quand on songe à l’extrême basse estime dont cet écrivaillon nous tient, nous les français, quand on songe aux propos scandaleux que baragouine ce profiteur exilé, on se dit que oui on a de la chance de savoir qu’il passe son temps à l’Etranger. Alors on se dit aussi que ce serait bien si ses prochaines saillies littéraires fussent en anglais.
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