Chapeau bas pour cet article, surtout pour ce qu’il induit.
C’est effectivement la fin des haricots, et comme dans chaque fin de cycle, avant l’explosion, une accélération exponentielle est en oeuvre.
Par contre, les commentaires dates presque tous du défunt 20eim siècle et n’ont et n’auront plus cours en ce 21eim siècle.......
J’entend le cris, la souffrance, de celui qui sans emploi ce retrouve, j’entend son sentiment d’inutilité, j’entend sa rage face à sa solitude, face à sa noyade progressive. D’autre part j’entend aussi l’amertume de celui qui tous les jours va se saigner aux quatre vaines et qui, point ne comprend ou n’entend celui qui chez lui reste.
MAIS, il est peut être une question à poser en ce monde globalisé ou les seules frontières restantes sont celles qui dans nos esprits prennent corps. Nationalisme débile, identité exacerbé, fierté peut être trop narcissique. La culture, nos identités, sont certes importante, mais l’économie elle, s’en bat les c....... C’est bien pour cela que les capitaux transitent sans aucune frontière.
D’ou une question simple : Y a t’il 6milliards d’emplois viables dans notre sphère économique globale ?????
Si oui pourquoi tant d’exclusion et de misère partout sur GAIA ?
Si non, que fait on des laisser pour compte ?
C’est la seule question à ce poser, sachant que le progrès technique, les gains de productivités, et aussi les gains d’espaces permettent de produire toujours plus avec toujours moins de monde.....
Transposer dans le domaine du marchant ce qui devrait rester dans le domaine de l’humain (bénévolat, implication dans telle ou telle assoc, aide à son voisins....) n’étant pas forcement une bonne chose.
Donc bas les masque, le choix étant plutôt basique. On extermine ou on commence à réfléchir à un monde ou le travail ne serait plus la seule et unique valeur sociale restante, chose qui permettrait peut être de proposer un tiers temps à tout un chacun et de profiter enfin de son existence.
Notre avenir dépend today de notre capacité à inventer demain en oubliant notre formatage ancestral : Travail, crois, et procrée.
On est pas sortit de l’auberge......