Le cannabis reste visiblement l’espace de « liberté » auquel il ne faut pas toucher.
Je ne souhaite pas à mon pire ennemi ni à aucun des promoteurs du cannabis qui se sont exprimés sur cet article de vivre au quotidien avec un consommateur « occasionnel » tombé dans une consommation très régulière. Les exemples proches que je connais, doublés des « maigres » connaissances en neurophysiologies qu’il me reste de la Fac m’ont conduit à cette position intransigeante sur un produit que trop d’intellectuels (de mon point de vue) ont voulu banaliser. Il faudra faire un bilan dans 15 à 20 ans sur la poussée de la consommation du cannabis ces 10 dernières années pour se faire une idée de ces conséquences sanitaires. Mais on peut craindre le pire.
Remarque ironique : dépénaliser conduirait les consommateurs de cannabis à trouver un bouc émissaire dans 20 ans, lorsque, atteint d’un cancer des poumons, ils pourront mettre au tribunal leur fournisseur comme ce fut le cas avec les cigarettiers. C’est peut-être ça, l’objectif de cette campagne pour la dépénalisation.
Soyons irresponsables jusqu’au bout.
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