En réponse à :
"comment pourrions nous accepter que l’on meure de froid dans la rue,
lorsque l’on sait qu’il y a plus de 2 millions de millionnaires dans
notre pays ?
ceux la ont droits à tous les privilèges, les égards :
il s’agit donc de fraternité, et d’égalité.«
Mais il n’y aurait aucun millionnaire, on ne devrait pas non plus accepter que quelqu’un meurt de froid. Ce n’est pas le millionnaire qui les a mis à la rue, ce n’est pas en les empêchant de payer un sac vuitton à 5000€ qu’on va obtenir un logement à ses personnes. Au contraire on risque de mettre d’autres personnes à la rue vu qu’une économie de produit de luxe risque de s’amoindrir ou les personnes préféront aller dans des pays où on les ennuies pas pendant leur emplettes de Noel.
Pour moi la fraternité ce n’est pas de dire »tiens, y a des riches prenons chez eux« Pour moi la fraternité c’est prendre de son temps pour apporter du café chaud, de donner de »son" argent pas celui des autres, de remettre la place du pauvre à Noel pour ne pas les laisser seuls à la rue, c’est aussi mettre à disposition son canapé.
Ma fraternité c’est quand j’ai un ami qui est virer de chez lui et qui devrait finir dehors, je l’héberge chez moi et le nourri, l’aide à faire des démarches pour s’en sortir.
J’assume mes responsabilité en prenant de chez moi. Pour cela que ma conscience est tranquille.
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