Si je dois 10 000 euros à la banque, c’est mon pb. Si je lui dois 10 millions, c’est son pb
« Après tout le problème est bien plus symétrique qu’on ne croit : la finance peut sans doute nous prendre en otages mais, dès lors qu’il est suffisamment débiteur, l’Etat a aussi les moyens de la ruiner, avec au surplus, derrière, le pouvoir de la ramasser à la petite cuillère et à sa façon... Pour tous ses dangers réels, la faillite technique des banques a au moins un effet intéressant : elle permet de leur mettre la main dessus. Et à pas cher en plus. Les arguments de principe pour une recommunalisation du système du crédit abondent ; la situation de faillite leur offre leurs conditions de réalisation – et même de réalisation modique. Car si la nationalisation intégrale est la première étape du processus de recommunalisation du bien commun bancaire, avant la mutation ultérieure en système socialisé du crédit [19]), la situation critique de la faillite générale offre la possibilité d’opérer cette nationalisation par simple saisie. » (Ne pas détruire les banques, les saisir, par F. Lordon, 2/12/10)
« La France n’a pas besoin de réformes, elle a besoin d’une révolution. »
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