On a déjà essayé de ne pas « traumatiser » les élèves avec la notation en orthographe.
Je donne un exemple en application pour la dictée du brevet encore en vigueur il y a une dizaine d’années ( ’je parle de l’examen).
D’abord un texte court...
Ensuite, la « note » était divisée en deux :
10 points pour les fautes dites de grammaire.
10 points pour les fautes dites d’usage ( vocabulaire)
Imaginons un élève faisant 10 fautes de grammaire et aucune faute d’usage : eh bien ! il avait la moyenne soit 10 ! Un autre pouvait faire 4 fautes de grammaire et 6 fautes de vocabulaire... là aussi, l’élève avaient 10. Comble du comble ! un élève pouvait faire 15 fautes de grammaire, on ne pouvait de toute façon ne lui retirer que 10 points ! On pouvait arriver à un 9 sur 20 avec 17 fautes de grammaire et une faute d’usage.
Beaucoup de professeurs bien évidemment affreusement sadiques n’appliquaient pas ce barème durant l’année mais ils y étaient obligés lors de l’examen.
J’ignore si ce principe de notation lors du brevet est toujours en vigueur.
Mais vous avez remarqué comme moi que depuis cette « innovation » pédagogique, les élèves sont devenus « imbattables » en orthographe !
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