Il se trouve que les états ont renoncé a la possibilité de battre leur monnaie, pour tout un tas de raisons fallacieuses.
Quoiqu’il en soit, ils en sont donc réduis a faire appel a des préteurs privés (banques ou autre investisseurs institutionnels). Par conséquent, l’état est un acteur économique comme un autre, débiteur, avec un profil de risque.
D’une certaine manière, et dans ce cadre précis, il est logique que des sociétés de notation évaluent le risque d’un débiteur pour le compte des préteurs.
On tombe alors dans la psychologie des marchés et de tout ce beau monde, avec ses emballements, sa spéculation et ses prévisions auto-réalisatrices.
Les deux seules questions FONDAMENTALES a mes yeux (merci Mr LORDON de me les avoir ouverts) :
1. L’état, et le peuple souverain, doivent reprendre le contrôle de la création monétaire
2. Cela passe, entre autre, par la nationalisation des banques et des capacités de crédits
Je rejoins JL, lisez LORDON, CHOUARD, GENEREUX etc...
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