Excusez-moi de ne pas être d’accord. La haine est marginale. Elle s’exprime fortement certes, mais ce n’est ni dans la presse ni dans les partis politiques majeurs qu’elle s’exprime. C’est un nouveau story telling qui se met en place. Pour parler de mot aussi fort que la haine, il faut le prouver et non s’emparer d’un sentiment journalistique et d’en faire une vérité. Il suffit de prendre la majorité des articles écrit concernant Nicolas Sarkozy et d’en faire une synthèse, d’y regarder quel est le vocabulaire, quelle fréquence et quel lectorat, tant en nature qu’en quantité. Après cette étude on peut dire si oui ou non il y a de la haine comme décrite. Ce n’est pas parce qu’une minorité très forte qui crie fort et qui use de qualificatifs haineux que c’est un sentiment généralisé.
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