Oui, et la dette provient également des gigantesques exonérations, ou niches fiscales, dont profitent les entreprises et les très haut revenus (170 milliards par an).
Ensuite, on ne peut que s’ébahir devant le processus qui consiste pour l’Etat à emprunter plutôt que de modifier les taux d’imposition. En fait c’est très simple, et cela va dans le sens d’un système prédateur, tout dévoué à enrichir encore plus ... les très riches : L’Etat lance donc des emprunts, sous forme d’obligations, qui vont être souscrites par ceux qui ont des capitaux, les « rentiers-actionnaires » , ou très riches, et CES EMPRUNTS VONT ËTRE REMBOURSES PAR LES CONTRIBUABLES, ESSENTIELLEMENT LES CLASSES MOYENNES, dernières à payer encore des impots. Egalement par les plus modestes, sous formes de taxes ou de diminution des prestations sociales...
Quelle belle société, non ?.
On voit là, le fonctionnement inavoué du système économique en place : Prendre aux plus modestes pour enrichir encore les plus riches.
Or, donc, 1% de très riches et X % de contribuables aisés, s’enrichissent encore plus, en prenant sur le reste du pays.
Vive le capitalo-libéralisme !
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