A l’imprécateur anonyme qui ne peut s’empêcher d’éructer sa haine d’une société dont il doit profiter grassement, à M. l’excrémentiel africain qui sévit régulièrement sur ce blog par des commentaires qui tournent toujours au ras des vespasiennes, à M. Demian West qui, échappé de Médrano, n’a d’autre arguments que de s’en prendre personnellement à ceux qui le dérangent, je livre cette note de lecture relevée dans l’excellent article de M. Abdallahi Hormatallah, secrétaire chargé de la communication de SOS-Esclaves (Mauritanie) intitulé « Le cri de l’esclave » : « jusque dans un passé récent, lorsque chez les Maures une esclave tardait à avoir des enfants, on pouvait l’attacher quelques jours les jambes écartées pour satisfaire les gens du voyage passant par le campement, afin de faire naître de nouveaux enfants ».
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