C’est un duel à mort : soit les spéculateurs mettent les peuples en faillite (hic, c’est déjà bien parti), soit les peuples s’organisent pour mettre les spéculateurs en faillite (euh, vous en êtes où ?). La procédure Glass-Steagall permettra de liquider la masse d’actifs financier toxiques qui parasite le système, une nécessité que même certains financiers jugent inévitable.
Dans un interview avec le site allemand infokriegernews.de ,
Hans Bocker, conseiller en investissement de spéculateurs les plus
scabreux parmi lesquels figurent BP, Llyods, Royal Dutch Shell, etc.,
explique que le système financier mondial est fatalement sur-gonflé :
une bulle obligataire de 100 000 milliards de dollars, à laquelle
s’ajoute une bulle des dérivés de 1 million de milliards de dollars. Des
dépréciations d’actifs sont nécessaires, explique-t-il, à des niveaux
« raisonnables » :"il faut passer au niveau mondial d’un ratio actifs
réels/actifs monétaires de 1 pour 400 à seulement 1 pour 3", soit une
liquidation de 99% des valeurs fictives ! Chiche ? Les financiers commencent à reconnaître l’inéluctabilité d’un Glass-Steagall Global avec retour au Crédit productif public.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération