Voici une proposition à examiner :
Etant donné que l’« interné » est bien souvent une victime (exemple concret : une personne travaillant à la Poste donne des signes qu’elle pourrait se suicider à cause de ses conditions de travail - imaginez le reste*...)
Etant donné la gravité du traitement (enfermement, contrainte médicamenteuse qui va rendre la personne incapable de se défendre) que représente l’enferment sous contrainte
Il me semble raisonnable de systématiquement désigner un avocat (spécialisé ou non) qui aura en charge de toujours prendre la parti de l’interné, de tenter de faire la part des choses entre l’énorme préjudice subi par son « client » - équivalent d’une lourde peine - et ce qui l’a amené dans cette situation.
*en reprenant cet exemple : un internement sous contrainte + les médicaments (qui parfois rendent suicidaire) vont a priori discréditer ce malade vis à vis de ses employeurs. Le malade le sait puisqu’il connaît l’origine de ses troubles et ceci va contribuer à le faire basculer irrémédiablement. L’avocat devra exiger une enquête de circonstance et rapporter la parole - si elle est encore audible...- du malade interné sous contrainte.
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