Slipenfer : Votre remarque est excellente. Bien sûr, je n’ai pas traité du problème affectif, notamment parce que l’assistanat sexuel ne se propose pas de résoudre ce problème. Le sexe peut être abordé de façon pratique (et donc politique), tout ce qui appartient aux sentiments, à l’affectif, se situe totalement en-dehors du champ politique.
Jiache : le Larousse en ligne parle du handicap en terme d’ « infériorité »... Selon moi, le handicap en un certain sens est une injustice, sa cause peut être génétique ou accidentelle. La société doit essayer de réparer ces injustices, dans la mesure du possible. Un des enjeux de l’article était de poser la question : jusqu’où la loi (et donc l’Etat et la société) peut s’immiscer dans la vie des gens au nom de leur mieux-être ?
Perlseb : On ne peut qu’être d’accord avec vous. L’activité sexuelle des uns et des autres ne peut pas être une priorité collective. Mais la politique ne doit pas faire que parer au plus urgent (questions de la faim, du logement), elle doit aussi énoncer les principes dans lesquels on veut vivre. En ce sens, la question de la prostitution appartient à l’Etat (alors que la pseudo-libéralisation sexuelle est d’ordre sociétale).
Uccle : merci pour ces références.
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