Je suis d’accord avec vous, la constitution est un garde-fou qui sert de référence de base pour tout pouvoir légitime tenu de rendre des comptes aux citoyens.
La future constitution tunisienne ne déroge pas à cette règle.
Mais néanmoins, le processus démocratique est très fragile surtout quand il est à ses débuts. Tout le monde est bien sûr d’accord pour en respecter les règles, mais leur compréhension n’est pas perçu de la même manière. C’est à ce moment là précisément qu’il faut redoubler de vigilance, car tout peut basculer. Plus tard, le débat plus mur, la démocratie quand elle sera « stabilisé » atteindra la vitesse de croisière.
Il faut espérer un déroulement heureux ; les tunisiens ont surmontés bien d’autres écueils.
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