Pour être clair, la « vraie » recherche d’un médicament commence après sa mise sur le marché (leur toxicité est un peu débroussaillée, leur efficacité souvent biaisée) et ce sont les patients, ceux-là même à qui on vente le fait qu’on leur prescrit un tout nouveau médicament, qui vont le tester.
Il y a eu une rupture dans la tradition du « soigner », de l’humain, proche de la nature, on est passé au « conceptuel » pensant que l’homme était une machine. Or le corps humain et sa physiologie sont en perpétuel adaptation à leur environnement. Et ce dans le cadre de l’homéostasie : l’équilibre étant l’état le plus instable.
Or que fait-on ? on standardise les essais pour les rendre comparables avec rien à voir dans la réalité.
C’est ainsi d’ailleurs que l’accusation (ne pas sortir d’études standardisées) contre l’homéopathie ne tient pas lorsqu’on connaît la complexité de la physiologie humaine.
Erreur conceptuelle de départ. Porte ouverte au n’importe quoi. L’industrie pharmaceutique, à quelques exceptions près, s’enferre dans une erreur.
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