Dans notre société, les hautes classes ont besoin de vivre sur le dos des travailleurs, cela va de l’ouvrier, à l’employé, e passant par les petits cadres, et les petits entrepreneurs.
Pour continuer à vivre à ses dépends, les riches sont propriétaires des biens qu’ils louent à ses mêmes travailleurs, et vivent encore plus sur leur dos, a leur pomper tout leur sang et leur force comme des sangsues....

Dans les années 70, pour eviter que ce soit les francais « de souche » les plus exploités, on a fait venir des immigrés, de nos ex colonies, en accord avec les dictateurs encore en place (on adorait passer des accords avec les dictateurs à l’époque...) Ensuite, comme on a commencé a faire travaillé les femmes, vers 1975, et qu’on allait pasa demander au notre de nettoyer notre merde, on a fait venir les femmes des immigrés sous le nom de « regroupement familial » voulu, voté et décidé par Giscard.

Le but était double et très simple a comprendre :

- ses immigrés, provenant du tiers monde, étaient très contents de trouver des conditions de travail à la Française, et n’étaient absolument pas regardant sur les salaires, et/ou les horaires comparativement à ce qu’ils avaient connu dans leur pays d’origine (en gros c’étaient de sacré bosseurs). Le prolétariat révé pour des patrons, qui n’avaient aucune raison de payer plus chers des empoyés « de souche », qui en plus avaient connaissance des droits des travailleurs... Donc le premier but a été un maintien à son plus bas niveau possible dans un pays comme le notre, des conditions de précarité des metiers les plus durs (éboueurs, BTP, ménage, etc...)

- Le deuxième a été de dépolitiser, toujours grâce à l’influence tiers mondiste de ses vagues migratoires, les banlieus rouge. En gros, avant dans les HLM, il y a vait tous les prolétaires francais, conscient de la lutte des classes, et des abus de classes bourgeoises. Après, il y a eu une fuite de ces ouvriers, qui ont cédé ses habitations a des familles originaires de pays du tiers monde, bien content de travailler, et du coup peu enclin à la critique de la bourgeoisie et de la lutte des classes....

Finalement, l’immigration des années 70 aura eu deux avantages non négligeables pour la bourgeoisie francaise : lui garantir une main d’oeuvre bon marché, et éliminer l’ennemi politique que représentait à l’époque le communisme prolétaire.

Il se trouve que ces personnes sont devenues Francaises, mais ne se sont jamais plaints. En revanche leurs enfants français aussi, autant que n’importe quel « de souche », moi compris, ne sont pas contents, et n’ont surtout pas envie de revivre la vie de leur parents. Quoi de plus surprenant ????

Aujourd’hui il est clair qu’il faut fermer les vannes de l’immigration, car cela ne sert que la bourgeoisie, le patronnat, et les sans papier (qui en fait ont des papiers, mais pas les bons pour l’endroit ou ils se trouvent) ne sont qu’une forme d’exclavagisme moderne, et empeche les travailleurs de nationalité francaise de voir son salaire évoluer à la même vitesse que le coup de la vie (soit celle du cheval au galop).

MAis cela pose un réel problème de toute façon. Si il n’y a plus les sans papier. S’il n’y a plus d’immigration, et si les gosses d’immigrés des années 70 finissent par s’integrer (à mon avis, encore une génération et c’est bon). Qui va occuper les postes de merde, qui va prendre les plus bas salaire, ou exercer les proffessions les plus pénibles. Je ne pense pas que les Francais refusent de le faire, mais surtout les patrons refusent d’employer des francais, trop instruits et trop couteux, pour leur putain de rentabilitée...

Si vous voulez mon avis, le vrai problème dans ce pays, ce ne sont pas les immigrés, mais plutot ceux qui profitent d’eux ! En l’occurence le patronnat bien content de trouver une main d’oeuvre bon marché, et de l’exploiter comme de l’esclavagisme moderne.