Depuis la « poule au pot » du Béarnais le poulet est devenu la viande du pauvre, le poulet brésilien( où Doux a aussi « délocalisé ») est indispensable à la survie du tiers monde. Pour ces pays là ce n’est pas une question de choix... Par contre, en France pays de cocagne -béni des dieux -nous pouvons faire un tout autre choix et dire non à la malbouffe : rien ne nous oblige à supporter ces élevages intensifs dommageables tant au respect des animaux qu’à notre propre santé. Il nous faut simplement changer nos habitudes, manger moins de viande mais une viande de qualité(le « label rouge » pourrait être un minimum) revenir au jardin ouvrier et à l’élevage individuel, développer les abonnements « cageots » partout ou cela est possible et se déshabituer à remplir nos caddies de« prêt à bouffer » aussi douteux que ruineux !
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