Je répondrai à cet article fort intéressant par quelques autres citations.
L’une De Proudhon (De la justice dans la révolution, 1858) : « Qui dit révolution dit progrès et par cela même conservation. Il n’y a qu’une seule révolution.
La révolution d’il y a 18 siècles s’appelait »Evangiles« : l’égalité de Tous les Hommes devant Dieu. L’autre s’appelait »Lumières« : l’égalité de tous les Hommes devant la Raison. Une troisième fut politique et s’appela »Le Contrat Social« : égalité de tous les Hommes devant la loi. La justice a sonné sa quatrième heure, sa devise : égalité de tous les hommes devant la fortune.
La révolution devait fonder la société, elle n’a songé qu’au gouvernement. »
Tout reste encore à faire pour parvenir à un monde politiquement idéal, à une démocratie parfaite, qui corresponde, selon Pavel Longuine « au respect de règles communes que chacun doit s’appliquer à soi-même ».
En ces temps où les peuples sont bafoués, méprisés, jouets de conflits d’intérêts au plus haut niveau, il devient nécessaire de repenser le politique, mais il faut aussi que cette pensée s’élabore collectivement ou du moins soit reprise par tous : « Pour que les idées deviennent des forces matérielles, il faut que les masses s’en emparent » (K. Marx).
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