Je trouve le ton de cet article, qui se veut persifleur et détaché, particulièrement irritant.
Cette immaturité, qui permet de faire des « bons mots »(?) quand des gens sont morts, ou risquent de l’être, fleurit dans les cours de collège, mais ne dépasse pas en général la classe de Seconde.
Cela dit, l’analyse me paraît assez faible, et pas très argumentée.
J’ai perdu 5 minutes à le lire, ce n’est pas grave.
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