Allons allons, joletaxi, loin de moi de me faire le parangon de l’URSS, au contraire. Je n’ai voulu que montrer les limites d’un système démocratique pour gérer une catastrophe nucléaire qui nécessite pour la circonscrire de fatalement « sacrifier » de nombreuses vies humaines pour en sauver des millions d’autres.
C’est toute la différence avec l’incendie d’une raffinerie.
Quand la catastrophe nucléaire commence, le problème qui est posé est l’impossibilité de régler le problème sans exposer de nombreux personnels aux effets des rayonnements et radio-nucléïdes.
Et malheureusement, ce sont les systèmes totalitaires comme l’URSS ou la Chine qui peuvent seuls faire face à ce type de situation.
A moins que vous ne soyez volontaire pour figurer aux nombres des victimes sacrificielles, des liquidateurs promis à la pire des morts, la mort par irradiation étant probablement la pire de toutes.
Dans les semaines qui vont suivre, les problèmes vont aller crescendo, avec à le clef une possible dissémination de plutonium sur toute la surface de la planète, qui renverra le césium et l’iode eu rang de joyeuses plaisanteries.
A ce stade, le mot d’ordre d’une ancienne liquidatrice soviétique est clair : run away as quickly as possible :
http://www.aolnews.com/2011/03/22/chernobyl-cleanup-survivors-message-for-japan-run-away-as-qui/
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