Je ne pense pas avoir dit que pour rien ne se faire voler il ne fallait rien avoir.
Par contre, lorsque nous baignons dans un bouillon de discours qui nous assènent que le bonheur c’est d’acheter le dernier modèle, que le plaisir ça ne se partage mais ça se prend tout seul (Boursin, Magnum,...), qu’il n’est pas génant de détruire le bien d’autrui pour en acheter un mieux ("Chérie le chien a mangé ton CD, on va devoir télécharger le nouveau....)
Est-ce qu’il n’est pas temps de promouvoir d’autres rapports humains que possession=admiration=bonheur ?
En ce moment sur les ondes belges c’est la course à l’homme politique qui proposera le plus de policiers dans les rues. Visiblement un acte crapuleux qui pose un problème grave de société ne débouche pas sur un débat sur cette dite société. Pourtant ce débat de fond s’il n’a pas lieu en sphère politicienne, est extrêmement présent dans le monde associatif, dans la société civile.
Le glissement qu’il faut questionner est pourquoi ce débat politique est exclu par les politiciens...
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