Exemple à la Grande-Borne dans l’Essonne. Grignywood, une association culturelle, a eu la surprise de recevoir récemment une enveloppe de 5.000 dollars pour la réalisation d’un dessin animé. Omar Dawson, fondateur de l’association, apprécie de travailler avec l’ambassade américaine : « Quand ils apprécient votre projet, il n’y a pas le côté paternaliste qu’on rencontre parfois. On retrouve beaucoup de respect et d’écoute ».
Cet été, il a même été convié à rencontrer le réalisateur Woody Allen, de passage à Paris.
Ce type d’investissement américain est loin d’être isolé. Chaque année, par exemple, l’ambassade américaine organise des repas dans les quartiers pendant le ramadan, avec 200 invités.
Pour Paul Patin, porte-parole de l’ambassade américaine, ces efforts s’inscrivent sur le long terme : « Depuis le 11 septembre 2001, nous nous intéressons davantage au monde musulman. Nous essayons de nous faire comprendre et de les comprendre ».
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