Les deux paramètre les plus importants, la cupidité et l’avidité, sont paradoxalement ceux qui nous mènent à la catastrophe annoncée et ceux sur lesquels il serait théoriquement possible d’agir.
Posons comme préalable que la cupidité et l’avidité ne font pas partie de l’instinct humain, comme par exemple, l’instinct de survie ou l’instinct grégaire. Ces comportements néfastes et pathogène sont transmis de génération en génération.
Les sociétés apaisées aux valeurs humanistes ont pratiquement toutes été détruites par celles, vindicatives et massacrantes, qui les découvraient dans leurs quêtes incessantes de richesses.
Le paradoxe est que pour faire évoluer l’humanité, il serait nécessaire de la conduire à se tourner vers d’autres valeurs que celle qu’ils vénèrent aujourd’hui.
On touche à l’impossible puisque les décideurs et les philosophes télégéniques, les seuls audibles, sont les champions de la corruption, de la cupidité et de l’avidité.
Il faudra donc boire notre vinaigre jusqu’à la lie.
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