Cet article est champion du « y faut y-a-qu’à ».
La mondialisation est un fait ce n’est ni une vertu, ni un programme.
Elle est le contraire de l’universalité dans la mesure où elle impose à la planète une domination économique, militaire et culturelle. C’est un rapport de force qui substitue au droit international constamment bafoué une contrainte d’autant plus perverse qu’elle prétend défendre la démocratie avec des moyens qui en sont la totale négation.
Des pays à feu et à sang sous prétexte d’ingérence humanitaire, une pression économique pour réduire dans les Etats les solidarités afin d’augmenter les profits financiers, la marchandisation mondiale des biens communs (’terre, eau, ressources alimentaires et énergétiques).
Ce n’est certainement pas en se repliant sur des prés carrés soit-disant souverains qu’on luttera contre la mondialisation mais en affrontant les fauteurs de ces troubles à tous les niveaux (mondial, européen et national) et par tous les moyens (juridiques, politiques et culturels).
Mondialisation et souverainisme ne s’opposent pas, ils se divisent le travail : il vaut mieux que se développe dans les Etats une idéologie de repli sécuritaire face aux étrangers qu’un mouvement révolutionnaire qui affronte les vrais responsables des méfaits de la mondialisation.
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